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La pratique en fusions et acquisitions chez Osler : diversifiée et stimulante

Rédactrice : Simone Fluet-Gendron

En remerciant chaleureusement pour leur collaboration au présent article Me Samuel Cantin et Me Vincent Legault, avocats chez Osler pratiquants dans le domaine des fusions et acquisitions. L’équipe de rédaction de l’Obiter tient également à souligner sa reconnaissance pour Me Natasha Vincelli, directrice des programmes étudiants et du recrutement chez Osler. Cette dernière a coordonné la réalisation du présent article afin de faire découvrir la pratique en fusions et acquisitions chez Osler aux étudiant.e.s de la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke.

 

Si vous êtes une personne minutieuse et débrouillarde, que vous avez un intérêt en droit corporatif et que vous souhaitez être impliqué activement dans des transactions d’envergure, la pratique dans le domaine des fusions et acquisitions chez Osler pourrait correspondre à vos attentes. Dynamique, variée et concrète, elle est caractérisée par une interaction entre plusieurs domaines juridiques distincts, une proximité avec le client et une collaboration entre plusieurs juristes. Osler est un cabinet spécialisé en droit corporatif comptant des bureaux dans plusieurs villes d’importance dans le domaine, telles Montréal, Toronto, Vancouver et New York.  L’entreprise compte plus de 500 avocat.e.s et a fait sa place en tant que chef de file en matière de droit des affaires au Canada. Le cabinet accorde également une importance significative à la formation des stagiaires, notamment en les impliquant activement dans les dossiers et en leur confiant des responsabilités variées. Le présent article abordera la pratique dans le domaine des fusions et acquisitions chez Osler ainsi que les avantages de réaliser un stage au sein de ce cabinet.

 

La pratique dans le domaine des fusions et acquisitions chez Osler

Dans le cadre d’une transaction en fusions et acquisitions chez Osler, de nombreux juristes coopèrent activement et se voient attribuer diverses responsabilités afin de mener à bien le dossier. D’abord, les avocat.e.s junior.s sont impliqué.e.s dans la vérification diligente liée au dossier. Ces juristes révisent un nombre important de documents dans le but de transmettre un rapport de vérification détaillé à leur client.e pour l’informer de responsabilités civiles ou contractuelles potentielles qui pourraient lui incomber après la transaction. Par exemple, en matière d’acquisition d’une entreprise, plusieurs domaines juridiques distincts sont impliqués afin de garantir que le ou la client.e soit au fait de  tous les potentiels manquements de l’autre entreprise qui est impliquée, notamment au niveau des droits des employé.e.s, du droit environnemental ainsi que les particularités de l’entreprise. La vérification diligente implique également des recherches en droit immobilier et de la fiscalité. Cette étape vise à assurer que l’entreprise représentée ne soit pas surprise ultérieurement par des violations législatives commises par l’entreprise qu’elle acquiert ou avec laquelle elle fusionne, puisqu’elle pourrait en être tenue responsable. 

 

L’avocat.e junior est donc responsable de coordonner les différents domaines contribuant aux recherches dans le cadre de la rédaction du rapport de vérification. Il est essentiel que cette personne fasse preuve d’esprit de synthèse pour soulever toutes les informations pertinentes afin que l’entreprise représentée soit en mesure de prendre connaissance des enjeux importants rapidement. Les avocat.e.s junior.s participent également aux appels avec le ou la client.e, dans un rôle d’observation, ce qui leur permet d’acquérir une expérience pertinente au contact de membres de l’équipe plus expérimentés qui supervisent le dossier.

 

L’avocat.e junior prépare aussi la documentation de clôture et s’assure que toutes les signatures nécessaires ont été obtenues afin de procéder à la transaction. Me Legault qualifie ce moment de critique dans le cours de la transaction, puisqu’il correspond à l’aboutissement des nombreuses heures de travail préalablement investies. Il souligne également la fébrilité associée à ce stade du dossier, qui constitue l’accomplissement du mandat et le symbole d’une collaboration réussie entre les divers acteurs impliqués.

 

Pour sa part, l’avocat.e senior a plutôt un rôle de révision du rapport de vérification et de supervision des différentes parties impliquées au dossier. Cet.te avocat.e révise également la documentation de clôture rédigée par l’avocat.e junior. Il ou elle a également la charge de diriger les discussions avec le ou la client.e. Le ou la juriste plus expérimenté.e est la personne qui a la responsabilité de rédiger la convention principale et les différentes ententes nécessaires au bon déroulement de la transaction. Par exemple, une convention de non-concurrence peut être rédigée ou un document déterminant les enjeux essentiels à discuter avec les parties impliquées dans la transaction.

 

L’associé.e, le cas échéant, est présent.e lors d’un appel avec les parties pour répondre à des questions plus spécifiques, diriger une négociation ou apporter une expertise particulière. Me Legault souligne qu’une des caractéristiques essentielles d’un.e avocat.e œuvrant en droit transactionnel est son attention au détail. En effet, en raison du nombre important de juristes impliqués dans le dossier et de ses différents volets, le bon déroulement du mandat dépend de l’aptitude de chaque avocat.e à réaliser un travail exhaustif et complet. Me Cantin ajoute également que pour les mêmes raisons, la débrouillardise ainsi que la proactivité sont des traits professionnels fortement appréciés par les collègues d’un juriste œuvrant en fusions et acquisitions. Toujours en raison du niveau d’organisation qui est essentiel au déroulement d’un dossier dans ce domaine, une bonne gestion des priorités est un atout significatif afin de concilier efficacement les différentes tâches à réaliser.

 

Dans le domaine des fusions et acquisitions, la force de la firme d’avocat Osler réside entre autres dans la collaboration efficace entre les membres de son équipe. Les deux avocats ayant collaboré au présent article s’entendent sur le fait que la pratique dans le domaine des fusions et acquisitions chez Osler se distingue des autres cabinets. Pratiquant au bureau de Montréal, les avocats soulignent que l’équipe de droit transactionnel chez Osler est moins nombreuse que dans d’autres cabinets, comparativement à l’envergure des transactions que la firme prend en charge. Cette particularité contribue à la collégialité qui règne entre les membres, laquelle se reflète au sein des dossiers par une coopération qui profite ultimement au client. Les juristes s’entraident et partagent leurs connaissances avec leurs collègues dans l’objectif commun de faciliter la transaction et d’assurer son bon déroulement. De plus, cette spécificité de la firme permet à chaque personne d’assumer un rôle actif dans le dossier et d’évoluer rapidement en se voyant attribuer des responsabilités importantes, ce qui favorise un traitement efficace et méticuleux du dossier. Maîtres Legault et Cantin considèrent que cette ambiance de travail facilite l’adaptation des juristes débutants dans le domaine et encourage indirectement le développement de relations de mentorat au sein de l’équipe.  

 

Les stages chez Osler

Chez Osler, les étudiant.e.s sont généralement assigné.e.s à une des trois branches de pratiques principales, selon leur intérêt. Celles-ci sont le litige, la fiscalité et le droit corporatif. Cette dernière branche est ensuite subdivisée en plusieurs volets, notamment l’insolvabilité, les valeurs mobilières, les fusions et acquisitions et les sociétés émergentes. Les personnes étudiantes affectées à la branche corporative ont donc l’occasion de participer à des dossiers dans diverses subdivisions afin de favoriser une formation complète. Si un.e étudiant.e démontre un intérêt particulier pour un domaine spécifique, il lui sera possible d’être impliqué.e davantage dans ce type de dossier. Les deux avocats ayant contribué à cet article ont entamé leur carrière au sein de la firme Osler après y avoir réalisé un stage dans le cadre de leur parcours académique. Ils soulignent l’ambiance conviviale qui règne au sein de l’équipe en raison de la proximité entre les différents membres de celle-ci, qui collaborent régulièrement ensemble.  Cette spécificité de la firme permet également aux avocat.e.s junior.e.s ainsi qu’aux étudiant.e.s d’être en contact avec des avocat.e.s plus expérimenté.e.s qui n’hésitent pas à partager leurs connaissances dans le but de contribuer à la formation de leurs collègues.  Me Legault explique que le choix de poursuivre sa carrière en tant qu’avocat au sein de la firme après y avoir réalisé un stage s’est fait de façon naturelle; il a grandement apprécié son expérience au sein de l’équipe du bureau de Montréal et il a trouvé l’ampleur des dossiers pris en charge par la firme stimulante.  Il a également apprécié le bilinguisme de ses tâches et les opportunités de découvrir des pratiques juridiques différentes dans le cadre de dossiers impliquant des acteurs internationaux qui se sont présentés à lui. Pour un étudiant souhaitant développer les aptitudes nécessaires à la pratique juridique dans le domaine des fusions et acquisitions, Me Cantin souligne la pertinence des apprentissages qu’il a faits dans le cadre du programme Droit-MBA à l’Université de Sherbrooke. En effet, les différentes transactions impliquent des termes financiers et comptables. Ainsi, les juristes ayant une expérience supplémentaire dans ce domaine disposent d’un atout intéressant, mais qui peut tout de même être compensé par un apprentissage dans le cadre de la pratique pour un étudiant.e n’ayant pas obtenu un diplôme dans ce programme. Me Cantin souligne également qu’une expérience dans une industrie spécifique parallèle au droit peut également être intéressante, quelle que soit sa nature, dans l’éventualité où un dossier impliquant des entreprises œuvrant dans ce domaine se présente. Il est également pertinent pour un.e juriste souhaitant pratiquer dans ce domaine de consulter les nouvelles d’actualités corporatives. En outre, l’avocat convient que l’expérience s’acquiert par la pratique, spécialement dans un cabinet comme Osler, qui emploie des avocat.e.s disposant d’une expérience fort intéressante pour un.e juriste débutant dans le domaine et qui favorise la collaboration entre collègues.

 

Il ressort de cette interaction avec des avocats pratiquant chez Osler que ce qu’ils apprécient particulièrement de la pratique au sein de cette firme est l’ambiance accueillante et la collaboration entre les différents membres de l’équipe. Les juristes pratiquant dans ce domaine qui ont contribué au présent article soulignent également leur enthousiasme envers le domaine des fusions et acquisitions, qui leur permet d’être impliqués dans des dossiers diversifiés et captivants.  En outre, cette pratique peut être une possibilité particulièrement intéressante pour  un.e étudiant.e ayant un intérêt connexe aux fusions et acquisitions, soit la fiscalité, le droit du travail ou le droit de l’environnement notamment, puisque certains dossiers impliquent un amalgame de domaines. 

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